
En dépit des pages arrachées, Haijieh fait bonne figure et Madeleine me couve du regard. J'aime leur déchirure, et parfois, dans l'herbe fauve, Fatou égare son cri orphelin. Lorsqu'il m'atteint enfin, je n'entends rien d'autre, je deviens une femme libre.
Nous publions uniquement les avis qui respectent les conditions requises. Consultez nos conditions pour les avis.