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Los cuarenta y dos poemas de Alma sencilla muestran el carácter existencialista y vital del poeta Carlos González Algovia, pero a la vez evidencia el compromiso social del autor y su desasosiego ante la crisis ‒la vital y la social‒. El escritor Carlos Lapeña, prologuista del libro, interpreta el poemario como el diario de una crisis. «Crisis como cambio, como camino, como duda, como reacción..., como existencia misma. Inevitable, necesaria y nutricia crisis que todo individuo atraviesa en algún momento ‒o varios, o muchos‒ de su vida, porque el cuerpo envejece, el entorno cambia, los congéneres actúan, la familia crece, el trabajo cansa... y la mente no deja de criticar todo eso.» Las ilustraciones de la cubierta y del interior del libro son obra del artista Fernando Ferro.