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Lydia LAINÉ naquit en 1906, à Tchita, en Sibérie, près du lac Baïkal. Elle vint en France à l'âge de trois ans : atteinte d'un mal de Pott, ses parents la firent soigner à Berck, à l'institut Saint-François de Sales qui pratiquait alors le traitement le plus efficace de cette maladie. Elle fera ensuite des études de philosophie et deviendra institutrice. Pendant l'occupation de la France par les troupes allemandes, elle aurait dû porter l'étoile jaune. Mais elle s'y refusa. C'est sans doute ce qui lui a évité les camps de concentration. Elle publiera plusieurs romans et de nombreux recueils de poèmes. Parmi les premiers figurent « Dernier printemps en Sibérie » (éditions Subervie), « Le voyage à Sisteron » (éditions Oswald). Parmi les seconds se trouvent « Poèmes si l'on veut » (Maison Rhodanienne de Poésie), « Miroir au silence » (Tour de Feu), « Un grand pas te suit » (Tour de Feu), « Pour un jour insolent » suivi de « Poèmes pour une cité d'urgence » (Le Pavillon Roger Maria éditeur), plusieurs publications dans la revue « Les Temps Modernes » etc. « Ancre-Rêve » est son dernier ouvrage, il marque l'ultime étape de sa recherche en matière d'écriture poétique, et qui la rapproche des pratiques des poètes surréalistes avec la place qu'ils accordent au rêve comme création ou « poièsis ». Privée de la vue à la fin de sa vie, elle ne cessera pas de produire des textes, par l'intermédiaire d'enregistrements. Sa cécité lui sera fatale, elle mourra accidentellement en décembre 1993.