Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
« Banlieues lointaines » est le cinquième roman de Daniel Apruz. Et, sans doute, est-ce le roman le plus achevé mais aussi désespéré, sans cri, sans larme, d’une manière parodique et cocasse, avec cette désespérance paisible et souriante d’une errance qui tourne en rond. On trouve dans ce texte le pessimisme de l’immédiat qui déjà se remarquait dans les précédents romans de Daniel Apruz. Mais sans amertume, avec le sourire de celui qui fume sa pipe en attendant que ça se passe. Banlieues lointaines, dont le thème principal est peut-être la mort, peut se lire comme le roman d’un temps qui se termine dans un cul-de-sac. Dans cette rue Moche du roman où tout le monde se retrouve, et où chacun est la banlieue lointaine de l’autre.