
Baudelaire
Rêver de Honfleur
Dès le débili du XIXe siècle, des touristes, des peintres, des écrivains, se pressaient a Honfleur, séduits par la beatile de ce site pittoresque. En 1855, le général Aupick, beau-père de Charles Baudelaire, achetait, sur la Còle de Grâce, une maison surplombant l'estuaire. Mme Aupick, mère du poète, y vécut ses dernières années. Honfleur incarna, pour Baudelaire, un rêve de bonheur, inlassablement entretenu. La maison maternelle, cette « maison-joujou », ainsi qu'un environnement riche de suggestions poétiques, représentaient un paradis accessible, opposé à Paris, où le poète, souffrant, vivait très mal.
Pourquoi Baudelaire ne s'installa-t-il pas, comme il le désirait, définitivement à Honfleur ?
Quels sont les liens entre celle ville et l'oeuvre du poète ?
Les réponses à ces questions s'enrichissent d'une évocation inédite de la vie à Honfleur du temps de Baudelaire, de la perception de Baudelaire et de son oeuvre par les Honfleurais an XIXe siècle, et de l'ancrage progressif de son souvenir à Honfleur.
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