
Avec Les Belles Choses que porte le ciel, Prix du meilleur
premier roman étranger, Dinaw Mengestu s'est imposé
parmi les nouvelles voix de la littérature américaine.
On retrouve dans ce nouveau roman la grâce poétique de
son écriture et de son regard, ce souci de rendre compte
de la réalité sans jamais négliger la fiction ni l'imaginaire.
Ce qu'on peut lire dans l'air nous parle du couple, de la
solitude, de la guerre et de l'exil, mais il évoque aussi la
lumière et l'apaisement.
Au début des années 1980, Yosef et Mariam, que la
révolution éthiopienne a séparés pendant trois ans, se
rejoignent aux États-Unis. Pour célébrer leurs retrouvailles,
ils s'offrent enfin un voyage de noces, à Nashville. Trente
ans plus tard, Jonas, leur fils, en pleine crise existentielle,
revient sur leurs pas. Entre de vagues souvenirs d'enfance
et le silence de ses parents sur le drame qui les a menés
aux États-Unis, il reconstitue à tâtons l'histoire de sa famille,
sa propre histoire...
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