
Au début des années 1980, Yosef et Mariam,
que la révolution éthiopienne a séparés
pendant trois ans, se rejoignent aux États-Unis.
Pour célébrer leurs retrouvailles, ils s'offrent enfin
un voyage de noces, à Nashville.
Trente ans plus tard, Jonas, leur fils,
en pleine crise existentielle, revient sur leurs pas.
Entre de vagues souvenirs d'enfance
et le silence de ses parents sur le drame
qui les a menés aux États-Unis, il reconstitue
à tâtons l'histoire de sa famille, sa propre histoire...
Après Les belles choses que porte le ciel,
Prix du roman étranger 2007, Ce qu'on peut lire dans l'air
évoque avec une grâce poétique la solitude,
les fractures d'un couple, la guerre et l'exil,
autant que la lumière et l'apaisement.
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