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Il faut d'abord saluer le courage de l'auteur qui a pu conter sa descente aux enfers comme " prisonnier politique " de Bokassa, en Centrafrique, de 1976 à 1979. Pourtant, ce témoignage rare parmi les survivants de ladite " maison d'arrêt " de N'Garagba - véritable " Maison des Morts " - ne manquera pas de déconcerter certains lecteurs à cause de sa sobriété et de sa sérénité. Gallo nous retrace si simplement le quotidien d'une survie carcérale : la perversité des bourreaux en quête de promotion aussi bien que la grandeur des sentiments nés dans la déréliction et l'arbitraire le plus total ! On assiste au morne déroulement répétitif de chaque jour et de chaque nuit où l'irréparable peut s'accomplir... Le temps est ponctué par les stratagèmes des morts-vivants pour tromper la vigilance des geôliers et introduire le nécessaire humain : communiquer avec ses compagnons et à l'extérieur avec ses proches, se laver, lire, afin de se réconforter, espérer et... survivre encore. La Commission internationale des Droits de l'Homme passe par là mais ne visitera pas les cachots... L'espoir formidable qu'elle a un moment soulevé retombera comme un couvercle de plomb sur les damnés, de la terre... L'assassinat des dizaines de collégiens de Bangui en 1979 marquera la chute de l'Empereur Bokassa et la fin du calvaire...