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Avril-mai 1945. Le IIIe Reich est aux abois. Comment échapper à la corde ou au peloton d'exécution ? Cyanure ou revolver, le suicide paraît un bon moyen : solution choisie, entre autres, par Himmler et Göring, comme par Hitler et Goebbels. Ceux qui ne peuvent s'y résoudre se volatilisent, tel Heinrich Müller, chef de la Gestapo. Certains, Wernher von Braun ou Reinhard Gehlen, choisissent de vendre leurs services aux Alliés. D'autres, comme Alois Brunner, Adolf Eichmann, Klaus Barbie ou Joseph Mengele, parviennent à fuir en Égypte, en Syrie ou en Amérique du Sud.Mille gibets n'auraient pas suffi pour châtier les criminels nazis. Le nombre de ceux qui payèrent leurs crimes de leur vie après la chute d'Hitler fut dérisoire : quatre-vingt-une pendaisons de hauts responsables dans les cinq à six années suivant la guerre, à Nuremberg, en Pologne, en Tchécoslovaquie, en Russie ou en Ukraine. Ainsi qu'en France, où ils furent plutôt fusillés. Mais comment identifier les subalternes qui avaient carte blanche pour perpétrer des massacres " sur ordre " ?Plongeant dès 1990 dans les archives de la Stasi et les archives fédérales allemandes, Jean-Paul Picaper est parti sur les traces de ces criminels de guerre, pour exhumer les vestiges de leur déroute, de leur disparition et de leur mort. Ce livre est le récit de cette vaste enquête, nourrie de témoignages et de révélations sur l'attitude machiavélique de Staline et sur l'assistance accordée aux coupables par d'honorables institutions religieuses et politiques.