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Toute l'œuvre de Marie Susini - à commencer par la Fiera dont Albert Béguin n'hésitait pas à dire qu'il le tenait pour un chef-d'œuvre - est animée par l'exigence de l'absolu. Partout retentit, comme venue du fond de l'enfance, la pathétique revendication d'un amour jamais suffisamment accepté, aimé. Les années ont passé et aujourd'hui l'intensité de la quête fait place à la sérénité d'une tendresse désolée. Au hasard d'une rencontre avec l'homme qu'elle a aimé, qu'elle ne cesse d'aimer, Fabia — dans le Paris de mai 1968 en écho au Paris de la Libération — revit sa propre histoire : la jeunesse en Algérie, les années de Sorbonne sous l'Occupation, la pureté des premiers attachements, la blessure d'une unique passion pour celui qui est là... Ce n'est pas le temps perdu qui est retrouvé, c'est plutôt, dans un présent qui le répète, le passé qui revit et meurt une seconde fois.