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Dans un ruisseau souterrain flotte le cadavre d'une femme...
Quel est le point commun entre la recherche médicale et le syndrome de Diogène ? Un chat ! Un banal matou qui fausse compagnie à sa maîtresse, et trace une diagonale qui mène tout droit à un ruisseau souterrain dans lequel flotte le cadavre d’une femme. Autre point commun : Debbie, la propriétaire du chat qui remue ciel et terre pour le retrouver, et le détective Léa Mattei, payée par une cliente pour retrouver sa jumelle disparue. Qui est le cadavre du cours d’eau ? L’enquêtrice se retrouve avec deux femmes identiques et deux meurtriers potentiels. À qui appartient l’indice retrouvé sous le pont ? D’où vient l’homme qui squatte autour du lieu du crime ? L ’affaire réserve bien des surprises. Des Quatre-Pompes à Lanninguer en passant par Lisbonne, Léa Mattei renoue avec l’adrénaline des enquêtes, entre Patrick Mérieux, son nouvel amour, et Marc Guillerm, son ex-compagnon.
Suivez pas à pas le fil d'une énigme, avec ce 9e tome des investigations de Léa Mattei : deux femmes identiques et deux meurtriers potentiels. Qui est donc le cadavre du ruisseau ?
EXTRAIT
Devant l’air interrogatif de Léa Mattei, elle ajouta : — Bertrand Morin de la Chatellière. Oui, je sais, ça surprend quand on voit les lieux. Mais c’est un brave homme, dépassé par la maladie de sa femme. Je ne sais pas trop s’il fait attention aux allées et venues. Le ruisseau se trouve au fond de son ter rain et le pont est un peu plus loin. Au moins cent mètres, n’est-ce pas ? Pourquoi me demandezvous cela ? Léa soupira. — Parce que la grille qui ferme la buse était déplacée lorsque le corps a été retrouvé. Je me demandais si des jeunes en mal d’amusement auraient pu faire ça. Debbie hocha la tête. — Je n’habite pas ici et je ne suis pas vraiment au courant des habitudes du quartier. Vous croyez qu’elle a été enlevée intentionnellement ? Ce serait de la préméditation alors… Mais il aurait fallu que le tueur sache que la victime allait venir là. Léa sourit. — Bonne réflexion ! Si ce ne sont pas des jeunes qui ont vandalisé la grille, alors le tueur aurait soit poursuivi sa victime, soit il lui aurait donné ren dez-vous là ! On se reverra, Debbie ? Chaque détail, même minime ou qui semble insignifiant, compte dans une enquête.
A PROPOS DE L'AUTEURE
Née à Cherbourg, Martine Le Pensec vit et travaille à Toulon. D’origine bretonne et normande, elle puise son inspiration dans l’Ouest et le domaine médical dans lequel ellea travaillé plusieurs années. Elle signe, avec Chat noir à Brest, son seizième roman policier.