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In Chocoladetranen van Antoine de Kom komt een bonte reeks figuren uit het verleden op het toneel, meestal als aangesproken persoon. Catullus, Cesare Borgia, Slauerhoff, Hitler, Pasternak, Juana de Ibarbourou, Hadewijch, Cheung wie? En dan hebben we het nog niet eens over de naamlozen, zoals die met hagelslag uit het titelgedicht, en natuurlijk de Surinamers, want het land van De Koms jeugd is nooit ver weg. Ze worden toegesproken of niet, maar het gebeurt steeds meeslepend, in een lyrisch-dramatische en dan weer onverwacht intieme stijl die zijn weerga in de hedendaagse Nederlandse poëzie niet heeft. Versnellingen, vertragingen, fluisteringen, woede alles weet De Kom met zuiver poëtische middelen te bewerkstelligen. Wie door de dichtkunst weer eens werkelijk in vervoering wil worden gebracht, mag zich deze Chocoladetranen niet laten ontgaan.