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Ce livre veut être une sorte de fête : une fête du langage, de l’amour, de l’amitié et de la mort, mais une fête comme celles que l’on faisait lorsque l’on était religieux, c’est-à-dire une fête inquiétante, qui sépare du monde habituel dans lequel on aime s’oublier.
Aristote, enregistrant sans doute l’opinion de son temps, définissait la comédie comme la mise en scène d’actions de personnes ordinaires. La comédie a ensuite durablement été associée au rire, puis à tout ce qui relève de l’artifice. Ce mot a même, paradoxalement, désigné pour un temps une péripétie qui finissait bien. Comédie joue de ces sens du mot en racontant l’histoire de personnages dont on espère qu’on les trouvera ordinaires, drôles et bons. Rappelons pour finir ces phrases de Baudelaire : « Les gentilshommes coupables avaient joui pour la dernière fois du spectacle de la comédie. Dans la même nuit ils furent effacés de la vie. »