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Die Romantiksatire 'Comoedia divina' erschien 1808 ohne Angabe von Drucker und Druckort möglicherweise bei dem Mannheimer Verlag Schwan & Götz. Die kleine Schrift geht auf Aloys Wilhelm Schreiber zurück (1761-1841), zu dieser Zeit Professor für Ästhetik und Geschichte an der Universität Heidelberg. Er gehörte zum Zirkel um den klassischen Philologen Johann Heinrich Voß, der sich am Neckar zum Antagonisten von Achim von Arnim, Clemens Brentano und insbesondere Joseph Görres entwickelt hatte. Die Satire richtete sich aber nicht nur gegen diesen Freundeskreis, sondern gegen die Romantik insgesamt in ihren literarischen, philosophischen und medizinischen Ausformungen. Im Gegensatz zu den späteren, persönlich verletzenden Invektiven der Partei um Voß handelte es sich jedoch noch um eine originelle und komische Streitschrift der Heidelberger Romantikgegner.