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Le 18 septembre 1981, l’Assemblée nationale vote l’abolition de la peine de mort. « Demain, grâce à vous, les pages sanglantes de notre justice seront closes », déclare le garde des Sceaux, Robert Badinter. Pour les ex-condamnés à mort, libérés ou en attente d’une éventuelle libération, la peine capitale a marqué leur existence au fer rouge avec, oubliés les « hauts murs », l’espoir d’un vrai pardon et d’une réinsertion qui se révèle souvent difficile. Guy Chauffour, condamné à mort deux fois, gracié, estime que « la terre ne tourne plus pour lui ». Malgré la nécessaire disparition de la guillotine, pour certains parents de victimes, la peine suprême reste la seule à pouvoir signifier que « justice est faite ». Ainsi, pour ce Jurassien dont la fille a été violée et assassinée, c’est le « chagrin à perpétuité ». Désespérés, comme les parents de Céline, après le meurtre de la Motte du Caire, les uns et les autres se tournent vers le juge et l’avocat. Justice, vengeance, pardon, les protagonistes mêlent leur voix au débat, souvent passionné, concernant l’enfermement pénitentiaire, et les moyens que la société se donne pour faire respecter la loi et « punir les coupables ». Cet ouvrage ne prétend pas parler de ces hommes et de ces femmes meurtris : il leur donne la parole, comme il entend les hommes de loi, magistrats, avocats, dire leurs certitudes et leurs doutes à propos du fonctionnement de la machine judiciaire.