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Un incendie criminel ravage une villa de Bénodet et fait deux victimes : le commandant de police en retraite et son épouse.
Pour contrarier la fraîcheur hivernale qui s’est installée sur la Bretagne, un incendie ravage une villa de Bénodet. Le sinistre, d’origine criminelle, pourrait faire l’objet d’un simple entrefilet dans la presse locale, si l’on ne devait déplorer la découverte de deux corps. L’identité des propriétaires est rapidement établie. Il s’agit d’un commandant de police en retraite, et de son épouse. Le capitaine Maxime Moreau ayant travaillé sous ses ordres, le juge d’instruction confie l'affaire à l’antenne de police judiciaire de Quimper, au détriment de la gendarmerie de Fouesnant. Plusieurs hypothèses jettent les bases des premières investigations, avant qu’un incroyable rebondissement ne bouleverse la donne.
Grâce à ce 13e tome des enquêtes de Maxime Moreau, plongez au cœur de la Bretagne, suivez pas à pas les investigations de la police judiciaire de Quimper et laissez-vous surprendre par les incroyables rebondissements de leur enquête !
EXTRAIT
— Bonjour. Police. J’ai quelques questions à vous poser. Plus que mes paroles, ma carte aimante son regard et cristallise son attention. — La police ! Mais nous ne vous avons pas appelé ! — C’est sûrement parce que vous n’aviez pas de raison de le faire. Je viens pour une petite enquête de routine. Vous accepteriez de me laisser entrer ? — Oui, bien sûr, allez-y ! — Hum, ça vous dérangerait de tenir votre chien ? Sans en avoir la phobie, je me méfie toujours. Un coup de dent est si vite arrivé… — En ma présence, Brutus ne ferait pas de mal à une mouche. Et encore moins au mollet ou à l’arrière-train d’un policier ! De fait, lorsque le portillon pivote sur ses gonds, le berger allemand, langue pendante et semblant peiner à reprendre son souffle alors qu’il n’a pas fait d’effort, lève le museau vers son maître. Celui-ci demeurant sans réaction alors que j’approche du duo, le chien comprend que je suis le bienvenu. En gage de soumission, il s’allonge de tout son long, posant sa gueule sur ses pattes antérieures. — Allons à l’intérieur, conseille Grégoire Parizon, il y fera meilleur ! — Votre chien est d’une obéissance rare. C’est vous qui l’avez éduqué ? — Pas seulement moi. J’ai bénéficié des recommandations et du savoir-faire d’un dresseur. Le résultat est fantastique, bien au-delà de ce que j’espérais. Mylène, nous avons un visiteur ! Dans le séjour, je ressens sur mes joues une bouffée de chaleur. Le contraste avec l’extérieur est total, car nous passons instantanément de deux ou trois degrés à plus de vingt-cinq. Assise dans un fauteuil près de la cheminée qui crépite en consumant une belle bûche sur un lit de braises ardentes, l’interpellée lève les yeux du livre dans lequel elle était plongée. — Ce monsieur est de la police. Il veut nous poser des questions sur… sur quoi, au fait, vous ne me l’avez pas dit ! sursaute-t-il soudain en s’apercevant que le sujet n’a pas été abordé car la conversation a roulé sur la docilité de Brutus. — J’enquête sur l’incendie qui a ravagé la villa de vos amis Céline et Daniel Bernier. Nous avons pu établir que ce n’est pas le fruit du hasard, mais nos investigations pour démasquer le pyromane sont pour l’instant sans résultat. — Si ce n’est pas malheureux ! soliloque la femme, entendant par là non pas que la maréchaussée ne se met pas en lumière, mais qu’il y a dans nos contrées des quidams frappadingues, ou sacrément mal intentionnés.
A PROPOS DE L'AUTEUR
Natif de Concarneau,Stéphane Jaffrézic habite et travaille à Quimper. Une conversation avec un ami sur un nouveau phénomène de société lui a inspiré son quinzième roman policier. Il est par ailleurs organisateur de murder parties et président du collectif d’auteurs “L’assassin habite dans le 29”.