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«Cuánto pesa una cabeza humana», que lleva como subtítulo «Diario de un virus coronado por el miedo», no es un diario de la pandemia al uso. Nos encontramos ante un extenso y singular poema que las fechas entrecortan y en el que Alfonso Armada va devanando un diálogo con nombres queridos y familiares: Celan, Glück, Weil, Mandelstam, Carson, Ajmátova, Cioran, Forché? fragmentos de poemas que lo acompañan para pensar y preguntarse qué sentimos en este presente mórbido y mortal. En cincuenta días (desde el domingo 15 de marzo hasta el domingo 3 de mayo) se hacen presentes, además de estas voces poéticas, la música y una suerte de mnemotecnia personal y colectiva ?el autor cubrió en su momento, como periodista de El País, el cerco de Sarajevo o el genocidio de Ruanda, con textos dolorosos recogidos en libros memorables?.