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Ici parle celui que deux générations de pilotes ont appelé Monsieur Daurat, le “patron” de l’Aéropostale, le Rivière de “Vol de Nuit”, celui qui sut discerner les dons extraordinaires d’un Guillaumet, d’un Mermoz, et faire de l’exactitude une règle absolue au service d’un seul maître : le Courrier. Didier Daurat parle en son propre nom, certes, mais ce ne sont pas là d’égoïstes mémoires. Comment séparer les “gestes” d’une épopée qui prend naissance aux ateliers Latécoère à Toulouse, passe par l’Espagne, où les pilotes de 1920 sont accusés d’espionnage, traverse le Maroc où les Maures accueillent les avions à coups de fusil, rejoint Dakar, conquiert l’Amérique du Sud, puis unit les deux tronçons Toulouse — Dakar et Natal — Buenos-Aires, affirmant au monde la vaillance de nos hommes et de nos appareils. Didier Daurat ayant connu, après l’Aéropostale, les débuts d’Air-Bleu, puis d’Air-France, ce pionnier ne peut s’empêcher de confronter son expérience ancienne et son rôle à la direction du centre d’Orly. Ni le balisage par plots au sodium, ni l’extrême complexité des rouages administratifs de cette grande machine qu’est devenu l’espace aérien, ne sont absents de cette confrontation. Mais le dernier mot de ce livre d’action et de technique est un mot simplement humain : “le pilote ne saurait devenir un robot”.