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Eugen Drewermann interpretiert in dieser Erstveröffentlichung das Märchen »Das Wasser des Lebens« der Brüder Grimm (KHM 97). Er erschließt es als Anleitung zu einer notwendigen Daseinsumkehr in einer Welt von Gefühlskälte, Gewalt und Gier: Das Ich als »König« weiß nicht mehr weiter und lernt, in dem »Kleinen« sich nicht länger zu verachten, sondern sich von dem »Kind«, das es nie sein durfte, einen Weg zu seiner Rettung weisen zu lassen. Das Märchen bringt die großen Lebensthemen ins Bild: Das Ich betritt das verwunschene Schloss seiner Seele und lernt die Liebe. Es gelangt in den Besitz eines Schwertes, das Konflikte durch Schlichten statt durch Schlachten beendet. Es stillt den Hunger mit einem Brot, das sich vermehrt, indem man es teilt. Ein Märchen, das uns hilft, im Bild vom »Wasser des Lebens« zu uns selbst und zu Gott zu finden.