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Antología poética del poeta valenciano Vicente Barberá Albalat. En el prólogo, escrito por el escritor y poeta José Antonio Olmedo, su autor nos habla así de esta necesaria y esperada antología de uno de los grandes movilizadores culturales en Valencia: «el origen de este río lírico fue el amor, ese desenlace no concluido no es otra cosa que un mensaje de amor como corolario, amor por la vida, por lo amigos, por la pareja, amor a Dios y a la familia, amor por el conocimiento, la alegría, la naturaleza y, cómo no, a la poesía. Porque el amor atraviesa la poesía y la persona de Vicente Barberá. El escritor y naturalista Plinio el Viejo nos dijo: «La verdadera gloria consiste en hacer lo que merece escribirse y en escribir lo que merece leerse». Decir y hacer son verbos que convergen en un poeta íntegro, una persona vital y, si encontramos dolor en esta travesía, es porque es amor.Ese mensaje culminante, tal desembocadura enfrenta un paisaje desértico e inhóspito, el páramo de la edad tardía que invita a reflexión y recapitulación. Cuando se tiene más pasado que futuro observamos la ficción con otros ojos, los sentidos de las cosas se reconfiguran, como también, nuestra noción del tiempo, y nos encontramos lo más cerca posible de nuestra plenitud. Y es que publicar un compendio lírico como este en ciertos pasajes de la vida es mucho más importante y trascendente de lo que pueda parecer.»