
Le poète nous fait entrer ici dans un monde de la
faille, de la déchirure originelle. Il vient éclairer le
travail du plasticien Jean-Claude Terrier, partant
de cette brèche qui occupe la partie centrale de ses
peintures. Ce qui précède l'existence, c'est la vacance
; ainsi ce qui vient prendre, habiter l'humain,
ce qui vient combler le vide, c'est bien un désir
d'unité et d'éternité, c'est-à-dire d'amour.
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