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Mit dem vorliegenden Band gewährt uns der Autor Klaus Gruhn Einblicke in die Geschichte der Schülervereinigung Abiturientia am Gymnasium Laurentianum. Wie man es meist nur von den studentischen Verbindungen kennt, pflegten auch die Warendorfer Oberschüler (seinerzeit tatsächlich nur "Jungens") ähnliche Rituale wie die universitären Pendants - Verbindungsfarben, Singeabende, Blechpauken und nicht zuletzt einen ganz eigentümlichen Sprachstil, in den der "big talk" verpackt wurde. Dass die feucht-fröhlichen Aktivitäten der Abiturientia angesichts zu erwartender Sanktionen meist im Geheimen stattfinden mussten - die Pauker des Kaiserreichs waren eben keine "Kuschelpädagogen" - versteht sich von selbst. Non scholae, sed vitae discimus - diese Lehrerweisheit bewahrheitet sich in ungeahnter Weise bei der Lektüre des vorliegenden Buches. Denn es zeigt uns, wie Menschen, die als Pennäler gemeinsam Ernstes und Lustiges erlebten, noch Jahrzehnte später als Alte Herren einander und der Abiturgemeinschaft verbunden waren.