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In seinen Studien zu den Organa von Winchester setzt sich Stefan Häussler mit den ältesten erhaltenen Gesangsserien größeren Umfangs auseinander, in denen der mehrstimmige Vortrag des Chorals schriftlich fixiert worden ist. Dies geschah im 11. Jahrhundert. Dabei sind Neumen verwendet worden, das heißt eine Notationsweise, die ganz anders funktioniert als die heute verwendete Notenschrift. Vieles ist weitgehend unbekannt: Wer hat die Organa aufgezeichnet und weshalb? Wer hat den Choral so gesungen, wie es zu dem Notierten passen könnte; wer hat damit angefangen, wer wieder aufgehört? Indes können viele Informationen aus diversen Bereichen gesammelt, geordnet und interpretiert werden, die es erlauben, sich den Organa aus verschiedenen Perspektiven anzunähern. Es ist möglich, zu plausiblen Klangfolgen zu gelangen, nach denen man die Organa heute wieder nachbilden und aufführen könnte. 11 der 12 Kyrieorgana sind in der vorliegenden Arbeit als zweistimmige Gesangsstücke auf Notenlinien dargestellt. Neben diesen praktischen Anliegen sind Rückschlüsse möglich, die in den Organa Konzepte verwirklicht sehen, die über die Mehrstimmigkeit im engeren Sinne hinausweisen. Sie helfen beim Verständnis von entscheidenden Schritten in der europäischen Musikgeschichte, die allgemeiner mit den Fragen zu tun haben, wie die Töne geordnet wurden, was zur Schrift gelangte, wie dies geschah und wie sich das Geschriebene und das zum Klang Gebrachte im Lauf der Zeit wandelten.