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Quo vadis, USA?Joseph Johnson, der neue Präsident der USA, polarisiert. Der Wahlkampf war hart und schmutzig, das Land ist gespalten. Extremistengruppen profilieren sich und die Menschen sind verunsichert. Johnson sucht die Schuld beim Terror und will die Spreu vom Weizen trennen. Dafür erlässt er ein Dekret, das alle legalen Einwanderer zum Tragen eines Ausweises verpflichtet. Als hätten die Nationalisten nur darauf gewartet, schlägt der Beschluss ein wie eine Bombe. Plötzlich ist es politisch korrekt, ein Rassist zu sein.Washington State, Oregon und Kalifornien weigern sich, das Dekret umzusetzen, und die große Völkerwanderung beginnt. Der Gouverneur von Arizona schließt die Grenzen, um die Flüchtlingsströme aufzuhalten, obwohl er selbst nicht hinter dem Dekret steht. Doch unter den Wirrungen der Politik werden manche Ideale bedeutungslos.Die Flüchtlinge stauen sich in Arizona, es werden mehr und mehr, Aktivistengruppen nutzen die Situation als Bühne für ihre eigenen Agendas, dann treten auch noch Nazis auf den Plan. Johnsons Machtbasis bröckelt, als die Zustände im Land außer Kontrolle geraten. Gewalt bricht aus, das Militär wird eingeschaltet - und dann tötet ein Anschlag in Seattle Tausende. Spätestens jetzt wird klar, dass die Vereinigten Staaten sich im Todeskampf befinden.