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« Divination d’une barque » réunit des poèmes qui ont souvent l’allure de proverbes, au poinçon oriental, si l’on veut ; d’autres, plus étranges, qui paraissent comme traduits d’un livre perdu — hermétisme et préciosité, précipités de sagesse léguée à nous par quels ancêtres ? L’élément liquide s’affirme omniprésent (mer, rivières) avec tous « les bateaux de la vie et de la mort », aux va-et-vient incessants. Le chaud et le froid, le blanc et le noir, de même, s’opposent en cliquetis de duel de survie. Des odeurs de sang et de vin, d’insectes, de bêtes marines, s’élèvent, vite balayées par le baroque et l’humour qui confortent, ou les sourdes gifles du désir. Le badinage amoureux est étiré au maniérisme, parfois, comme pour en masquer l’érotisme. Ce sont lèvres, baisers, yeux de la femme que le poète élit, avec des ruses de plasticien. Il les change parfois en déesses, en totems, ces beautés à bec d’oiseau ou à tête de loup vivante... À la bouche érotique répond la bouche qui profère la connaissance. L’union de la double intensité, la chair et la métaphysique, se fera au bord du Gange, devant « l’énorme effort de laver la mort ».