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In Fëdor Dostoevskijs Roman Prestuplenie i nakazanie (dt.: Schuld und Sühne oder Verbrechen und Strafe) rätselt die Hauptfigur über ihr eigenes Verhalten. Auch viele Leser haben es seither getan. Einige glauben, Dostoevskij habe es in dem ersten seiner großen Romane noch an Gestaltungskraft gemangelt. Andere meinen, der Dichter wolle gezielt Verwirrung stiften, um die Spannung zu erhöhen.Nils Meier zeigt, dass sich die Rätsel lösen lassen, wenn man den Roman parallel zu Theodor W. Adornos Studien zum autoritären Charakter liest. Bis ins Detail stimmen einzelne Figuren mit den verschiedenen Typen des autoritären Charakters überein. So gesehen entsprechen die Handlungs- und Figurenelemente psychohistorischen Umständen. Kann man sie nachvollziehen, offenbaren sich auch bisher unerkannte Aspekte der literarisch-formalen Struktur des Romans. Zudem bestätigt diese Lektüre die ungebrochene Aktualität des Romans. Er entstammt einer Krisenzeit und kann als Kommentar zu heutigen Krisen gelesen werden.