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Ici, émerge une poésie qui érige une stèle. La stèle postule la persistance d’un souvenir, dans son unique sensation. Aussi, peut-on justifier cette pressante injonction du poète : il y a une tombe/tu t’arrêteras/verse/verse sur elle/du lait maternel ! La sensation douloureuse qu’éprouve le poète se fige en un bloc monolithique qui en constitue en même temps une catharsis. Une tombe signe la fin d’un parcours, d’une étape. Mais pour un enfant qui meurt : point de parcours ni d’étape. Nous comprenons facilement le recours, par-delà la tombe, à cette nourriture intarissable qu’est le lait maternel. Sous des dehors de limpidité sage, d’intense expression de la douleur, de coulée monocorde, de nette précision dans le choix de mots si simples, Pacéré Titinga crée une poésie de la parole essentielle : celle qui, ajustant les tristes maux aux justes mots, retrouve le fondement même du sens de la vie.