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Vladímir Maiakovski solo practicó un género literario: el narcisismo. Es decir, su vida fue su obra, y, como de cualquier vida, una vez transcurrida, lo que nos queda de ella, si contemplamos al hombre, son unas cuantas anécdotas, unos versos, unas imágenes. Gracias a que fue algo más que un hombre, a que se convirtió, si no en mito, como decía Ehrenburg, al menos sí en marca registrada, hoy Maiakovski es algo más, mucho más que el simple poeta que podía haber sido si no hubiera tomado la decisión heroica -e infame- de transformarse a sí mismo en su única obra.Ahora Laura Pérez Vernetti lo hace suyo, y nos lo devuelve espléndidamente en¡fundado en sus míticos rojos y negros, logrando captar el aire de una época en sus elegantes viñetas, y repasa las estaciones principales de su agitada vida, es decir, de su obra más decisiva, de su intento de inventarse una nueva forma de vivir, de su afán por patearle la cabeza al monstruo de la rutina y zarpar hacia una existencia que fuera una sorpresa constante. No lo consiguió, claro que no, «la barca del amor encalló en la rutina+, dice uno de sus últimos versos, un verso triste e inevitable. Pero su singladura, como la del viejo Ulises, es de las que ya forman parte de ese peldaño superior al que solo de vez en cuando alcanza la literatura cuando logra disolverse en la vida: el peldaño del mito.Juan Bonilla (prólogo)