Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
ôAlejandro López Andrada, ¿o acaso será Noa, tan chica?, nos regala la alegría, los trinos, el borboteo del agua, los olores y los sabores de nuestra infancia, ya lejana, en estos versos (à) Al crecer perdemos, desafortunadamente, la capacidad de asombrarnos. Olvidamos la fascinación que nos producían los erizos, las oropéndolas, los lentiscos y los madroños. Pensamos que siempre han estado, y siempre estarán ahí, que nada tienen que ver con nosotros, pues son ajenos a nuestra vida cotidiana, a nuestro bienestar. Afortunadamente están los poetas y los niños para devolvernos, alguna vez, la memoria, y con ella la sabiduría de la inocencia. Y, si me permiten un secreto que solo me atrevo a expresar en voz baja, me gustaría que también estuvieran los mejores científicos, esos pocos capaces de encontrar el hechizo escondido bajo las apariencias.ö Miguel Delibes de Castro (Introducción)