Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Au moment même où le Service de l'Éducation surveillée change de nom pour prendre celui de Protection judiciaire de l'enfance, Jean-François Renucci nous livre le fruit de ses réflexions sur la protection judiciaire de la jeunesse. Le chemin parcouru est grand, depuis l'ordonnance du 2 février 1945 relative à l'enfance délinquante, et celle du 23 décembre 1958 sur la protection de l'enfance et de l'adolescence en danger ; mais il reste encore beaucoup à faire, dans le droit fil d'ailleurs des principes posés en 1945 et en 1948. Il faut aller jusqu'à la spécialisation totale des juridictions d'instruction et de jugement, et rendre le droit applicable complètement autonome, par rapport au droit des majeurs. C'est à ce seul prix que l'équilibre entre les mesures d'aide et d'assistance, toujours indispensable, et la sanction, parfois nécessaire, sera trouvé.