
Épithalame
La danse des soleils ressuscités
« Tes yeux en jouissance
Battent le son enivrant de ton intimité
Le chant profond et esthétique
De ta fine robe noire à même la chair
Chair qui s'extasie ô !
Au rythme de la déambulation
Au son transcendant de la danse
Ô croupes au parfum de soleil !
Alors dans l'heure pré crépusculaire
La fête en toi femme !
Je l'écrirai inlassable
Sur la face des océans
J'ai souvenir femme du cru
De la verve de tes pas
Et ton corps sculpte incessant le désir
Me nourrissant du sang de ta beauté... » Extrait p. 23
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