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Érase una vez el fin es la confesión de un condenado, no necesariamente por la ley ?aunque se la salte cuando haga falta?, sino por un entorno degradado y carente de dignidad, donde la solidaridad entre desheredados se ha vuelto puñalada en la espalda o en toda la cara. El reverso de un anuncio reciente del Gordo. Un Gijón con ecos de Vian, Goodis y Welsh se prepara para recibir la Navidad. Un pianista de hotel alcoholizado que todavía vive en casa de los padres contrae una deuda de juego que no alcanza los mil euros. Acosado por sus perseguidores, emprende una delirante huida en espiral en la que, como si fuera un Scrooge contemporáneo, sobre todo se dará de bruces con los fantasmas de su pasado. Esta novela de Pablo Rivero ?uno de los más destacados representantes de «la literatura de barrio DC (después de Casavella)», según Kiko Amat? se pregunta si existe realmente la posibilidad de redención en un entorno marcado por la ausencia de perspectivas, el trabajo precario y el paro, los malos tratos, el odio de clase y el desprecio por uno mismo, las adicciones, la sordidez y el hastío. Y lo hace con un estilo adrenalínico marca de la casa; un chute de realidad.