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Les Français savent écrire, les Anglais ne savent pas écrire. Du moins le pensa-t-on en Angleterre entre 1880 et 1930, si bien que Londres voulut rattraper son retard sur Paris. Pendant cinquante ans, le style anglais connut son moment français ; certains voulurent écrire en anglais comme on écrivait en français ; d’autres se revendiquèrent des théories de Flaubert ou de Gourmont. On importa des idées et des citations, des tours et des pratiques, et peut-être plus encore : le souci du style. Ou du moins le crut-on.Que les Français écrivent mieux que les Anglais, ce n’est sans doute qu’une illusion, disait Virginia Woolf, mais une illusion qui ne cesse de gagner des soutiens.C’est donc l’histoire d’une illusion que ce livre raconte. Gilles Philippe est professeur à l’Université de Lausanne. Il est notamment l’auteur de Le Français, dernière des langues (PUF, 2010) et de Le Rêve du style parfait (PUF, 2013). Il a dirigé avec Julien Piat La Langue littéraire. Une histoire de la prose en France de Gustave Flaubert à Claude Simon (Fayard, 2009).