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»Gegen den totalen Krieg! Für den totalen Frieden!« - so lautete die Losung einer Widerstandsgruppe, die in Leipzig gegen das NS-Regime kämpfte. Jasmin Trinks legt mit diesem Band erstmals eine Analyse des kommunistischen Widerstands in der sächsischen Metropole vor, deren juristische Bilanz aus elf Todesurteilen, 72 Jahren Zuchthaus, sechseinhalb Jahren Gefängnis und drei Freisprüchen bestand. Ihre Studie beleuchtet sowohl die Aktivitäten als auch die Vernetzung der kommunistischen Widerstandgruppen in Leipzig, arbeitet Grenzen und Schwächen der Widerstandsarbeit heraus und wirft einen Blick auf die Erinnerungskultur der Nachkriegszeit. Die Gruppen unterschieden sich in ihren Zielen, ihren Maßnahmen und in der Zusammensetzung der Akteure. Sie versuchten, durch Flugblätter die Propaganda der Nationalsozialisten zu entlarven und durch Sabotage das Ende des Hitler-Regimes und damit den Frieden herbeizuführen. Im Fokus der Untersuchung stehen insbesondere die Vielseitigkeit und Vernetzung des Leipziger Widerstands, die Rolle der Frauen sowie der Kontakt in Konzentrationslagern. Obwohl alle Gruppen letztlich ihr Ziel verfehlten, bietet die Beschäftigung mit ihnen wertvolle Erkenntnisse über die Funktionsweisen des Widerstands.