Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Georges Perros a laissé des textes brefs, des notes, des poèmes et des lettres: qui en font l'un des écrivains majeurs de notre époque (retenons, en particulier, les trois volumes de Papiers collés parus chez Gallimard). Mais Georges Perros a laissé aussi des proches et des amis inconsolables, que les années n'ont guère aidés à oublier la fin douloureuse de ce maître sans doctrine, comme le désigne Jean-Marie Gibbal. Ce dernier, poète et ethnologue, lut Perros, lui rendit visite à Douarnenez, et transforma son admiration en exercice. Son livre retrace, à la fois, le trajet de leur belle amitié et le mouvement concentrique qui part de l'homme-écrivain Perros pour mourir au plus près de son secret. Si Jean-Marie Gibbal installe son texte dans l'archipel Perros avec la délicatesse et la patiente écoute du grand spécialiste de la transe, que Les génies du fleuve avaient fait connaître au grand public en 1988, il expose tout autant l'émotion et la fascination qu'il éprouva sans cesse pour ce mystique sans Dieu. Fidèle en cela au maître dont il révèle le non-enseignement, au poète dont il souligne la rare voyance, Jean-Marie Gibbal justifie parfaitement toute la grandeur d'une lecture amoureuse.