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Mit Humor, Spottlust, Skepsis und Melancholie nimmt Johann Heinrich Merck Stellung zu einer Fülle von Themen der Jahre 1781 und 1782.In Essays und, teils autobiographisch fundierten, Erzählungen bewährt sich Mercks unverwechselbarer Ton angesichts des labilen gesellschaftlichen Zustands seiner Zeit. Für das »Journal von Tiefurt« am Weimarer Musenhof ist er ein sperriger Beiträger. Mit zwei Pamphleten mischt er sich in die Tagespolitik der Landgrafschaft Hessen-Darmstadt ein, mit der ersten seiner drei selbständigen Studien zur Paläontologie gewinnt er die Anerkennung führender Fachwissenschaftler. Wie stets steht auch die Kunst auf dem Plan: Mit einschlägigen Artikeln setzt er seine Mitarbeit an der »Deutschen Encyclopädie« fort, fördert die Karriere des jungen Wilhelm Tischbein, verteidigt Falconet und untersucht geschnittene Steine, an denen er als dilettierender Mineraloge Vergnügen hat. Den Teutschen Merkur bereichert er durch die Bekanntmachung extravaganter Werke.