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À l’âge de treize ans, dans un coin perdu de l’Europe communiste, Ismail Kadaré, naïf adolescent albanais, s’empare du Hamlet de Shakespeare pour y apporter une correction de son cru : « Je me souviens de ce jour ensoleillé d’hiver où j’ai pris le livre sur le rayonnage, cette fois non pas pour le recopier, mais dans une tout autre idée. Que les autres conservent leur Hamlet si ça leur chante, moi j’aurai le mien ! » Bien que l’action de la pièce remonte à très loin, presque à l’époque du Christ, on aurait du mal à en trouver une qui concerne aujourd’hui d’aussi près les habitants de cette planète. Fascinés par elle, tous méditent et supputent sans fin à son propos. L’énigme commence dès la première réplique entre les murs du château d’Elseneur, quand dans la nuit et le brouillard on attend l’apparition d’un spectre. Elle gît dans la question : « L’histoire qu’on voit se dérouler sur scène n’en cache-t-elle pas une autre ? Une autre que Shakespeare ne pouvait pas, ne voulait pas, n’avait pas le droit de raconter ? » Afin de percer le mystère du personnage le plus complexe du théâtre mondial, l’écrivain remonte à son berceau parmi les dunes glacées du Jutland, dans les sagas islandaises, les abîmes d’Œdipe et d’Oreste, pour le voir resurgir en celui qu’il désigne comme le « Hamlet extérieur », celui qui évolue à la surface de la terre dans le monde des vivants.