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En 1970 sort le premier album de Black Sabbath qui s’ouvre par un titre lourd et morbide préfigurant à lui seul des décennies de rock lugubre marqué par Lovecraft et Lucifer. Désormais prononcée, la rupture d’avec ce qui a précédé relativisera les promesses de paix et d’amour véhiculées par une époque rongée par le doute. Cette césure résonnera comme un coup de tonnerre dont l’écho, au fil des ans, sera amplifié par des formations comme Saint Vitus, Gore, Nirvana, Kyuss, Soundgarden, Corrosion Of Conformity, Grief, Nebula, Earth, High On Fire, ainsi que par ce que mettront en évidence Stephen O’Malley et Greg Anderson, au sein de la dizaine de collectifs dans lesquels ils s’illustrent, comme au travers de leur label Southern Lord, dont les réalisations et les rééditions dessinent les contours d’une internationale underground, versée dans une neurasthénie jouissive au potentiel d’addiction énorme : celle – notamment – du doom et du sludge dans tous leurs états, tels que déclinés partout sur la planète, entre autres par Nadja (Canada), Electric Wizard (Angleterre), Orthodox (Espagne), Our Love Will Destroy The World (Nouvelle-Zélande), Reverend Bizarre (Finlande), Ufomammut (Italie) ou Khanate (USA). En évoquant le Jugement dernier, « Black Sabbath », le morceau, a de plus montré la voie par laquelle le black metal – de Venom à Xasthur – n’avait plus qu’à s’engouffrer. Cette histoire fait suite à Hard’n’Heavy, Sonic Attack, 66–78.