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Henri Demay a l’âme militante. Il a de la générosité, du souffle et du métier ; il dénonce, dénonce, en griffonnant, maugréant, persiflant, tonnant et fustigeant. À ce diapason, à cette échelle, les timides objections qui surgissent tombent d’elles-mêmes... On aurait bien envie, parfois, de lever le doigt et de murmurer « Mais... la poésie ? l’esthétique ? la beauté ?... » On n’ose le faire devant une telle véhémence, une colère de si grande classe, une attitude caractérielle aussi justifiée, contagieuse et nécessaire. On est vaincu, ulcéré, entraîné, furieux, et on ne relève la tête que lorsque Henri Demay s’arrête de foncer et de démolir, pour annoncer les retrouvailles de l’homme avec l’homme, c’est-à-dire, comme il le dit dans « Les bourgeons du futur », les « lendemains des justes ». Tout cela avec des mots qui tombent de très haut, comme des cascades d’étincelles dans un ciel noir.