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Dans « Je t’écris de Bordeaux », Henri de Grandmaison dresse, en journaliste et en promeneur amoureux, un état des Lieux de Bordeaux et un portrait de cette ville au moment où la capitale de l’Aquitaine vit la fin de la « Chabanie », et se prépare à désigner un successeur à celui qui fut son maire pendant quarante-sept ans. Il s’agit d’un voyage très personnel, parfois passionné, parfois partial, jamais indifférent, à travers une ville que l’auteur a sillonnée à bicyclette, dont il est tombé amoureux et qu’il a décidé d’habiter. Avec une grande liberté de ton, il parle du tempérament de Bordeaux, du génie du lieu et des mentalités bordelaises. Il n’hésite pas à critiquer les inerties, les insuffisances, les ombres de cette ville et sa démocratie spéciale, mais souligne aussi les capacités de cette métropole, ses talents, ses richesses et les atouts qui doivent lui permettre de regarder l’avenir avec confiance, si elle accepte d’unir ses forces, de se défaire de ses raideurs et de dominer son scepticisme. Écrit sous la forme d’une lettre adressée à un ami de Nantes, son pays d’origine, qui lui reproche d’avoir trahi ses racines, le livre d’Henri de Grandmaison plaide avec chaleur la cause de La belle ville atlantique et gasconne qu’il a choisie pour son charme, pour sa beauté, pour son histoire. Mais d’abord à cause des Bordelais dont l’auteur dit les défauts et Les qualités, cherchant à convaincre son correspondant des raisons de son choix.