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Bien que Jean-Baptiste Lully n'ait jamais exercé de fonctions officielles à la Chapelle de Louis XIV, il ne composa pas moins de douze motets à grand choeur (ou grands motets), participant ainsi à l'élaboration d'un genre promis à un brillant avenir. Le Miserere (LWV 25) fut semble-t-il chantée pour la première fois à Paris en l'église des Feuillants de la rue Saint-Honoré, lors de la Semaine Sainte de 1663. Lully livra avec cette partition l'un des premiers modèles achevés du motet à grand choeur et dont Madame de Sévigné déclara qu'' Il y a eu un Libera où tous les yeux étaient pleins de larmes. Je ne crois point qu'il y ait une autre musique dans le ciel '. Jérôme de La Gorce situe la rédaction de ce Benedictus vers 1663 ou 1664. Nous n'avons trace d'aucune exécution du vivant de son auteur. Quant au Dies iræ (LWV 64/1), il fut composé pour les funérailles de la Reine Marie-Thérèse et chanté à Saint-Denis le 1er septembre 1683.