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André Soubiran, né à Paris, d’ascendance toulousaine, n’est pas un écrivain de métier mais, médecin, il a voulu devenir l’écrivain de son métier. Sans doute parce que le don d’observation est, chez le vrai médecin, le don essentiel, et parce que toute œuvre, pour atteindre à une authentique valeur humaine, ne peut se passer de ce don de sympathie qu’exalte plus qu’aucun autre, un métier sans cesse tendu vers la souffrance. André Soubiran a écrit, avec son premier livre, un des plus pathétiques et des plus durables témoignages inspirés par la Bataille de France. “J’étais médecin avec les chars”, parut en 1943, en Zone Libre, avec une préface de Georges Duhamel et resta interdit par la censure allemande en Zone Occupée, jusqu’au moment où il obtint le prix Théophraste-Renaudot. De 1943 à 1945, cent deux éditions furent publiées. Toutes les qualités littéraires et humaines de ce premier livre se retrouvent dans le nouveau roman d’André Soubiran, “Les hommes en blanc”, vaste fresque de la vie médicale, où l’auteur - avec une rare maîtrise - réussit à nous faire comprendre la lente formation d’une âme de médecin, au cours des cinq années d’un apprentissage qui ne ressemble à aucun autre. Et l’on comprend pleinement qu’après tant de faux romans “médicaux” écrits par des profanes, “Les hommes en blanc” reste, depuis des mois, le plus incontestable succès du roman français.