Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Ernest Millard est le pseudonyme d’Ernest de Frenne, marchand de tableaux qui eût son heure de gloire : en effet, entre les deux dernières guerres, il fut le défenseur des œuvres de peintres aussi importants que Modigliani, Soutine, Picasso, Braque, Foujita, Pasquin... Il prit ce pseudonyme, saisi, comme l’écrit Julien Gracq dans sa préface, par le démon de l’écriture, pour rédiger son journal, le “Journal d’un homme étonné”, publié - notamment - par la Nouvelle Revue Française, qu’il fit précéder de ce volume, où il relate sa jeunesse. On voit ici que de Frenne, s’il n’avait au départ aucun lien direct avec la peinture, s’est étrangement préparé à l’exercice d’un métier qui fut aussi et bien plus une passion. Son parcours, de sa petite enfance jusqu’à l’orée de l’âge mûr, fut des plus étonnants, et son récit a d’emblée valeur de document.