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Le 14 août 1952, Marcel Loubens meurt à la Pierre Saint-Martin des suites d’une chute dans le grand puits d’accès. Pendant les deux jours de son agonie, les quotidiens d’Europe et d’Amérique ont tenu en haleine des millions de lecteurs angoissés, souvent totalement ignorants des choses de la spéléologie, mais confusément conscients du côté exemplaire de cette lutte contre la mort. L’année suivante, l’équipe, un moment vaincue, reprend la lutte avec des armes nouvelles et atteint, à une profondeur de 737 m, le fond de la salle de la Verna. C’est le record du monde. Le 14 août 1954, les clameurs se taisent autour du gouffre de la Pierre Saint-Martin. Après deux ans d’attente au fond de l’abîme, le corps de Marcel Loubens va reposer dans le cimetière de son pays natal. C’est le moment que choisit Corentin Queffélec pour concevoir un étrange dessein : éviter qu’on puisse écrire le mot « fin » au terme de l’aventure qui aura été le sommet de sa jeunesse. Lui, le mécanicien venu au seuil du gouffre prouver que les techniques humaines permettaient de vaincre, lui qui n’a pas mis le pied dans la caverne, lui l’étranger, décide de prendre la relève des grands qu’il a jusqu’ici servis. Ce livre est l’histoire d’un homme qui n’a pas voulu vieillir. Une histoire de spéléologues, certes, mais qu’importe le cadre ! Une histoire joyeuse, invraisemblable souvent, vraie toujours. Une histoire où se mêlent, pour jouer à ce colin-maillard géant, des hommes pittoresques, des courants d’air mystérieux, des torrents déchaînés, des éboulis instables et des records du monde, cependant que le destin marque les points au long de treize années pendant lesquelles la grotte, comme toute chose ici-bas, s’est offerte souvent, prêtée quelquefois, donnée jamais.