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Als dem Göttinger Studenten 1870 während einer Zugfahrt eine Zeitung in die Hand fällt, war dies auch gleichzeitig der Wendepunkt in seinem Leben. In dicken Lettern stand zu lesen "GroÃe Mobilmachung". Kein Zweifel; das Vaterland brauchte ihn. Doch der Einzug kam schneller als es der ungeduldige Freiwillige erwartete. Die hohen Verluste brauchten schnellen Ersatz. Schon bald stand er zum ersten Mal dem Feinde gegenüber. Um ihn herum fielen die Kameraden. Die Regimenter veränderten sich rasant. Immer neue Gesichter füllten die Lücken auf, zogen aus und kehrten nicht wieder. Als am 1. März die Nationalversammlung in Bourdeux den Frieden verkündete, kehrten die deutschen Soldaten zurück. Es begann ein SpieÃrutenlauf durch Frankreich ...