Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
CARMEN BOULLOSA (Ciudad de México, 1954) publicó sus primeros poemas en los setenta del siglo anterior y ha practicado el oficio sin interrupción (La Salvaja fue Premio Xavier Villaurrutia en 1990; La Impropia fue impreso en prensa plana en 2018 en el ya mítico Taller Martín Pescador).Es también novelista. Al terminar los ochentas, publicó Antes en la editorial Vuelta de Octavio Paz, y a la fecha es autora de diez y ocho novelas (La otra mano de Lepanto, La virgen y el violín, El complot de los románticos, entre otras, aparecieron en Siruela). Ha sido profesora visitante en diversas universidades (Georgetown, Columbia, NYU, Blaise Pascal), ahora enseña los otoños en Macaulay Honors College de CUNY. Fue becaria del Cullman Center, Guggenheim, DAAD y FONCA.Lenguaje iracundo, reflexivo o sereno, en clave de humor o en traje de luto, los poemas de La aguja en el pajar retoman y trasgreden variedades de la tradición poética y el habla de México. El jurado del XIX Premio Casa de América de Poesía Americana considera que el presente libro es de una fuerte personalidad con la doble capacidad de jugar con el lenguaje y utilizarlo como espejo de la realidad mexicana, a veces violenta, con versos memorables y reflexiones de una gran profundidad.El Poema es la piel, la reacción sensorial, y la reacción racional a la percepción, placer o dolor. El Poema quema o resarce, sacia, aviva o escalda. Sabe ser el ruido o la música armónica. Es el número negativo, lo que huye atrás del cero; todo número (negativo o positivo) es fatídico porque sustrae, arrebata, acumula, y conduce al fin. Conduce al principio, es nuestra raíz, nuestro origen; es la Gramática que sostiene las más de mil lenguas humanas. No miente, tampoco es probo, y pone en duda la Verdad. Es el huracán, y no acepta descripción. Así este libro, escrito entre el México doliente, y el Nueva York de la vergüenza trumpiana