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Pourquoi ses amis appellent-ils aujourd’hui une vieille dame à cheveux blancs « la comtesse de Schoenbrunn » ? Parce que quatre amours impériales ont lié, par un curieux destin, les Bonapartes et la famille Camerata. La comtesse Camerata, nièce de Napoléon, vint à Schoenbrunn en 1831, où elle rencontra le duc de Reichstadt. Chassée par Metternich, elle garda toujours un amour secret pour le jeune prince. On sait moins que cette amazone eut un fils, le comte Camerata, un des lions de la fin du règne de Louis-Philippe. Rencontrant dans les Pyrénées Eugénie de Montijo, la future impératrice, il s’en éprit et se suicida le jour du mariage de la jeune femme avec Napoléon III. La Camerata avait recueilli la petite Graziella, fille de son fils, et devenue, par la faveur de Napoléon II, comtesse. Après les désastres de 1870, la comtesse s’en fut saluer son bienfaiteur (et parent) réfugié en Angleterre. Elle y rencontra son cousin le jeune prince impérial : une idylle réunit les deux jeunes gens, mais le petit prince mourut tragiquement en 1879, au Zoulouland. Graziella fit un mariage de raison, eut une fille... Ces tragiques amours de trois générations impériales pourraient se terminer là. Mais un quatrième volet nous mène en 1920 autour de l’impératrice Eugénie, vieille dame alerte d’esprit, comme tous ceux qui l’ont connue l’attestent. A sa villa du Cap-Martin, plusieurs jeunes gens (Jean Cocteau, Lucien Daudet...) fréquentaient. Et des jeunes filles... dont une Bonaparte éloignée, petite-fille de Graziella ! Un comte italien, également un Bonaparte éloigné, — celui-là même qui nous rapporte cette singulière histoire —, la rencontra chez l’impératrice et l’épousa, il y a cinquante années. Le destin mauvais est brisé... Amours semées d’abeilles impériales, qui débutèrent au château de Schoenbrunn en 1850 et se terminèrent à la villa Cyrnos en 1920... Yves Dartois, dans cette évocation historique, a su garder le style volontairement simple et uni de ses romans, que l’on a souvent rattachés à ceux de Jean Martet et de Pierre Benoit.