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La Danse pieuse, publiée en 1926 alors que Klaus Mann n'avait que dix-neuf ans, fut considérée comme le premier roman ouvertement homosexuel de la littérature allemande et déclencha un scandale. Le jeune peintre Andreas ambitionne de peindre Dieu en personne, entouré d'une ronde d'enfants ; mais déprimé, il part vivre à Berlin. Il y rencontre Franziska, jeune fille très masculine, avec laquelle il court les bars homosexuels dans les bas quartiers de Berlin et de Hambourg. Mais il n'y a d'amour véritable que dans le renoncement charnel, puisque Franziska n'aime qu'Andreas, qui n'aime qu'un autre, qui n'aime sans doute personne... Dans ce premier roman aux évocations hallucinées, Klaus Mann, porte-parole de toute une génération, fait montre d'une puissance poétique qui force l'admiration.