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La folie douce, qui s’oppose à la folie furieuse, c’est un moment d’égarement, de déraison, d’extravagance, de délire. Ça ne prête guère à conséquence, mais ça dérange les bonnes mœurs. Alors que la violence et le passage à l’acte sur autrui ou soi-même relèvent de l’inacceptable, il convient de penser l’accueil social de la folie comme un espace de création et d’invention.
Comment accompagner, soutenir, valoriser les psychotiques afin que leurs productions, quelles qu’elles soient, trouvent leur place dans l’espace de la culture, au sens où Freud la déploie, selon des voies socialement acceptables ? Qu’elles soient considérées comme faisant signe d’un sujet et non d’un dysfonctionnement ?
À partir de récits de vies singulières, telles Jeannot et son plancher, Glenn Gould et la musique, Marcel Bascoulard, le clochard céleste…, ou parfois tirés de son expérience clinique quand les patients tentent, à leur façon et avec les moyens du bord, de vivre parmi les autres en élaborant leurs propres solutions, Joseph Rouzel poursuit une nécessaire élaboration théorique des liens entre psychose et création.