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« L’amour c’est l’espace et le temps rendus sensibles au cœur. » Paru à titre posthume le 14 novembre 1923, presque un an jour pour jour après la mort de Marcel Proust, La Prisonnière est le volet central d’un roman de la jalousie, dont les fils enferment les deux protagonistes, comme jadis Odette et Swann. Croyant pouvoir apaiser ses tourments et soustraire Albertine à ses fréquentations lesbiennes, le narrateur installe la jeune femme chez lui, à Paris. Mais cette vie commune arrachée aux convenances morales ne fait qu’attiser sa soif de possession, en même temps qu’elle nourrit sa lassitude vis-à-vis de celle qu’il en vient désormais à considérer comme un obstacle à ses désirs de voyage et à ses possibilités de rencontres amoureuses. D’enquêtes en interrogatoires, le narrateur, geôlier prisonnier de sa propre jalousie, exacerbe les penchants d’Albertine pour le mensonge et, finalement, précipite sa fuite. Drame à huis clos marqué du sceau de la mort imminente, La Prisonnière donne pourtant un souffle nouveau à la Recherche du temps perdu, tissant tous les fils romanesques autour du personnage d’Albertine, insaisissable « être de fuite » et héroïne d’une fulgurante modernité.